Le Réchauffement Climatique
Voilà quelques années que les médias, les politiques, et diverses organisations culpabilisent l’Homme sur son mode de vie qui aurait pour conséquence un réchauffement climatique potentiellement dramatique. L’argument majeur de cette thèse est la corrélation entre les températures et la quantité de gaz à effet de serre qu’est le dioxyde de carbone (CO2). Cette thèse voudrait que plus le CO2 augmente plus les températures sur Terre sont élevées. Se pose donc la question de savoir si cet argument tient la route ? Et si ce n’était pas le cas, alors qu’elle pourrait être la raison du réchauffement actuel ? Et enfin dans quel but la classe dirigeante pourrait-elle tenir pour vérité absolue une thèse irrecevable ?
1/ La thèse officielle.
Pour nos politiques, le réchauffement climatique ou réchauffement global est causé par l’augmentation des gaz à effet de serre. Augmentation qui encore selon eux est due à l’activité de l’Homme. Pour ce qui est de cette dernière affirmation quelque chose me chagrine. Si on observe les sources de CO2 sur la planète, nous arrivons que loin derrière d’autres éléments.
Notons par exemple que la faune est à l’origine de 100 gigatonnes par an, tandis que l’homme n’en produit que 6.5GT. Les volcans quant à eux expulsent plus de CO2 que toutes les activités humaines réunies (industrie, transports…). Il faut ajouter à cela un fait plus qu’important. Le CO2 n’est pas le seul gaz à effet de serre présent sur la planète. La vapeur d’eau représente la majeure partie de ses gaz soit 95%. Le dioxyde de carbone n’en fait partie que pour 0.054%. L’activité de l’Homme qui ne représente qu’une part infime de cette déjà infime proportion de CO2 peut-elle bouleverser le climat ? Ou alors un élément bien plus puissant pourrait-il en être la cause ?
2/ La cause du réchauffement climatique.
Al Gore qui a fait un film sur le sujet a dénoté une corrélation évidente entre le CO2 et la température. Seulement il a omis un élément prépondérant. Le professeur Ian Clarck, paléoclimatologue de l’Arctique, soulève l’élément manquant à une bonne interprétation de cette corrélation. En effet lui qui a étudié des données sur plusieurs milliers d’années grâce aux carottes glaciaires met en évidence que l’augmentation de CO2 intervient environ 800 ans après celle de la température. Ce qui fait de l’augmentation du dioxyde de carbone, non plus la cause, mais une simple conséquence du réchauffement climatique. Carl Wunsch, océanographe (Professeur à Harvard, Cambridge, Londres…), démontre que l’océan réagit à la température. Quand cette dernière augmente, l’océan rejette du CO2 et quand elle baisse il absorbe du CO2. Ce qui démontre encore une fois que c’est bien la température qui influe sur la quantité de dioxyde de carbone et non l’inverse !
Mais alors de quoi peuvent bien venir ces variations de température que rencontre notre planète depuis des millénaires ? Sans chercher bien loin, nous savons tous qu’un élément extérieur à la Terre joue quotidiennement sur nos températures et que cet élément connaît lui-même des variations d’activité. Oui je parle bien du Soleil. De nombreux scientifiques dont Piers Corbyn (Physicien) défendent l’idée selon laquelle c’est le soleil et son activité variable dans le temps qui fait le climat Terrien. Leurs études montre une parfaite corrélation entre l’activité du soleil et le climat et cette fois c’est bien le premier qui influe sur le second. N’est-il pas plus logique en effet qu’un astre éminemment plus imposant que la Terre soit plus responsable des variations de climat que l’activité humaine qui ne représente qu’une minuscule partie des émissions de CO2 ?
3/ Pourquoi nos dirigeants s’obstinent à défendre leur thèse ?
Notons d’abord que cela n’est pas la première fois que nos élites nous font des frayeurs avec leurs prédictions climatiques. Certains d’entre vous s’en souviennent peut être, mais après la seconde guerre mondiales jusqu’au début des années 70’s, le message était que nous nous dirigions tout droit vers une nouvelle aire glaciaire. Une émission de la BBC animée par Nigel Calder expliquée encore cela en 1974 !
Dire qu’il ne faut pas consommer trop de pétrole, qui est encore pour quelques courtes années (ou mois) une des énergies les moins coûteuses et les plus pratiques d’utilisation c’est une façon louable, d' interdire au pays en voie de développement de suivre l’Occident. Nous avons depuis l’après guerre, usé et abusé des énergies fossiles, ce qui nous a permis une croissance fulgurante. Mais à une époque ou la Chine, l’Inde ou encore l’Amérique du sud deviennent de vrais concurrents, le meilleur moyen de les freiner c’est de leur couper ou de leur réduire l’accès aux énergies fossiles, au motif qu’elles mettent en péril l’humanité. On les oblige ainsi à respecter des accords, des mesures, des restrictions que nous n’avions pas et que certain d'entre nous n'acceptent toujours pas. Mais ceci devient de plus en plus une supercherie d’autant que nos dirigeants savent pertinemment que nous avons attends le Pic Oil (maximum de production pétrolière) et que par conséquent nous seront de toute façon tous obligés d’adopter un mode de vie énergétique écologique.
En plus de la barrière imposée à nos concurrents, la thèse du réchauffement climatique causé par l’Homme, permet un marché écologique très lucratif. Je vous laisse pour le comprendre observer les argumentaires de 80% de nos publicités.
Nous concluons donc cette réflexion par une idée simple. Le CO2 n’est pas la cause du réchauffement climatique mais une conséquence de ce dernier. Ce qui fait le climat de la planète c’est le Soleil. Quoi de plus normal ?
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Retrouvez en bas de page le reportage "La grande arnaque du réchauffement climatique."
Le conseil que j'ai à vous donner est univoque: "préparez vos bottes de feutre", comme disent les Russes. A l'heure actuelle, nous traversons le point culminant de l'une des périodes de réchauffement provisoires, qui avait commencé au XVIIe siècle, lorsqu'il n'était pas encore question de l'influence anthropique sur le climat représentée par les émissions de gaz à effet de serre.
Par Oleg Sorokhtine, pour RIA Novosti.
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Le professeur Oleg Sorokhtine est chercheur à l'Institut d'océanologie de l'Académie russe des sciences, docteur en sciences physiques et mathématiques, membre de l'Académie russe des sciences naturelles.
Il est l'auteur de plus de 300 ouvrages scientifiques, de neuf monographies et de plusieurs livres, dont le dernier, "Evolution et prévisions des changements du climat global de la Terre" paru en 2006. Chercheur émérite de la Fédération de Russie, membre de plusieurs expéditions antarctiques et océanologiques, spécialiste de l'évolution globale de la Terre, du développement des océans et du climat.
L'augmentation des températures est provoquée par des facteurs purement naturels et ne dépend nullement des gaz à effet de serre. Les vraies raisons de ces changements climatiques sont liées à l'inégalité du rayonnement solaire, à la précession (changement de direction de l'axe de rotation de la Terre), à l'instabilité des courants océaniques, à l'alternance des processus de dessalement et d'ensalement des eaux de surface de l'océan Glacial Arctique, etc. Mais ce sont l'activité solaire et la luminosité qui constituent les facteurs les plus importants. Plus ces indices sont importants, et plus la température est élevée.
Les astrophysiciens étudiant l'activité solaire ont mis en évidence deux variantes dans ce type de cycles, l'un de onze ans et l'autre de deux siècles. Ces cycles sont dus aux changements de diamètre et de surface de radiation du Soleil. A en juger par les dernières informations recueillies (je m'appuie sur les données fournies par Khabiboulla Abdoussamatov, chef du laboratoire d'études spatiales de l'observatoire de Poulkovo), nous avons déjà dépassé le point culminant de réchauffement, et une période de refroidissement sensible commencera d'ici 2012. Des phases d'activité solaire très basse, accompagnées d'une forte baisse des températures, sont à attendre vers 2041. Cette période de climat frais durera au moins 50-60 ans.
Cependant, les écologistes ne sont pas d'accord avec moi. Ils défendent la théorie des prétendus "gaz à effet de serre". Ces gaz, notamment le peroxyde d'azote, réchauffent l'atmosphère, en retenant la chaleur près de la surface de la planète. Cette idée a été formulée déjà à la fin du XIXe siècle par le physicien et chimiste suédois Svante Arrhenius, prix Nobel de physique, et a été acceptée par tous sans preuves, sans vérifications sérieuses. Ce point de vue prédomine de nos jours, il influe sur les décisions d'importantes organisations internationales qui se basent sur cette théorie en adoptant différents documents, notamment le Protocole de Kyoto à la Convention-cadre des Nations unies sur les Changements climatiques, signé par environ 150 pays. Voilà un bel exemple de la manière dont une hypothèse scientifique peut s'immiscer tout naturellement dans la grande politique et l'économie.
Les auteurs et partisans du Protocole de Kyoto s'appuyaient sur des idées fausses. Comme résultat, les gouvernements des pays industrialisés se voient dans l'obligation de dépenser des sommes colossales pour lutter contre l'influence anthropique sur l'atmosphère. Mais jusqu'à quel point cette approche est-elle justifiée? Ne nous battons-nous pas contre des "moulins à vent"?
Il est peu probable que l'augmentation des températures soit à imputer à "l'effet de serre", du moins, ce n'est pas scientifiquement prouvé. Le scénario classique du "réchauffement dû à l'effet de serre" est trop simple pour correspondre de fait à ce qui se passe réellement. En réalité, des processus beaucoup plus complexes se déroulent dans l'atmosphère, et surtout dans ses couches denses. Ainsi, plutôt que de rayonner, la chaleur dans l'espace est transportée par des flux de masses d'air, ce qui constitue un mécanisme tout à fait différent et qui n'entraîne pas de réchauffement global.
L'absence de rapport entre la température de la troposphère (qui est la partie inférieure et la plus dense de l'atmosphère) et la concentration de gaz à effet de serre est prouvée théoriquement, mais aussi empiriquement. En effet, l'étude d'échantillons de glace de l'Antarctique (les carottes ont été prélevées dans des puits forés à proximité de la station russe Vostok) n'a pas démenti l'existence d'un rapport entre les paramètres tels que la teneur en gaz carbonique de l'atmosphère et le changement de sa température. Il importe cependant de savoir ce qui en est la cause et ce qui en est la conséquence.
Il a été établi que la courbe des variations de température dépassait toujours légèrement les changements de concentration du dioxyde de carbone (CO2). C'est donc la hausse des températures qui serait la cause. La chaleur réchauffe la couche supérieure de l'océan, ce principal conservateur du gaz carbonique (qui en recèle 60 à 90 fois plus que l'atmosphère), et un "effet champagne" se produit. Si la bouteille est chaude, un jet jaillit, alors que dans une bouteille refroidie, le gaz se montre passif.
En se réchauffant, l'océan commence à "expirer" davantage de gaz carbonique, qui s'élève dans l'atmosphère. Sa présence augmente le facteur anthropique (on ne peut pas nier ce fait de manière générale), mais sa proportion est très insignifiante et "ne fait pas la pluie ni le beau temps". Quoi qu'il en soit, au vu de l'actuel niveau d'émissions industrielles de gaz carbonique, se chiffrant entre 5 et 7 milliards de tonnes par an, la température sur Terre n'évoluera guère jusqu'en 2100. Et même si la concentration de "gaz à effet de serre" double, l'homme ne le sentira pas.
Non seulement le gaz carbonique ne produit aucun effet nuisible sur le climat, mais il peut même s'avérer utile étant donné qu'il stimule le développement de la vie sur la planète en jouant le rôle de "pain" pour les plantes. En témoigne notamment la "révolution verte", à savoir une augmentation brusque et universelle du rendement des cultures agricoles au milieu du XXe siècle. De nombreuses expériences ont démontré l'existence d'une dépendance directe entre le rendement et la teneur en CO2 de l'air.
L'influence du gaz carbonique se manifeste dans l'activité synoptique plutôt que dans les changements climatiques. Le CO2 absorbe le rayonnement infrarouge, c'est un fait. Supposons que dans les couches proches de la surface du sol, l'air s'est réchauffé à tel point que le gaz carbonique qu'il contient a absorbé le rayonnement infrarouge. Par conséquent, le rayonnement disparaît et son énergie est communiquée aux mouvements oscillatoires du gaz, ce qui entraîne une expansion et une perte de volume. L'air chaud monte dans la stratosphère et des flux froids en descendent, c'est-à-dire que les couches s'entremêlent. La température ne change guère, mais l'activité synoptique circule: cyclones, anticyclones, etc. s'accélèrent. Voilà ce qui explique les phénomènes naturels comme les ouragans, les tempêtes, les tornades, et ainsi de suite. Leur intensité peut effectivement dépendre de la concentration de CO2, c'est pourquoi la réduction de la teneur en gaz carbonique de l'atmosphère pourrait en effet donner un certain résultat dans la lutte contre ces sinistres.
Or, le CO2 n'a absolument rien à voir avec les changements globaux des températures. Et ce, ne serait-ce que parce que l'activité solaire, de par son énergie, est plusieurs milliers de fois plus puissante que l'ensemble de l'énergie produite par l'humanité. En somme, l'influence anthropique ne correspond pas plus pour la nature qu'à une piqure de moustique pour l'homme.
Une catastrophe liée à une augmentation de la température ne pourra jamais survenir sur la Terre. Parmi toutes les planètes du système solaire, seule la Terre possède une atmosphère unique qui assure un climat favorable au développement des formes de vie supérieures. Ceci est dû à l'heureuse coïncidence de plusieurs facteurs: le Soleil est une "étoile calme", la Terre se trouve à une distance optimale de cet astre, elle possède un satellite massif, la Lune, et ainsi de suite. Des conditions climatiques confortables sur notre planète se sont formées entre autres grâce à l'interdépendance entre l'évolution du biote terrestre et le développement de l'atmosphère.
Ces liens régulateurs rétroactifs sont multiformes, et le principal d'entre eux agit par l'intermédiaire de l'albédo terrestre (rapport de l'énergie solaire réfléchie par une surface sur l'énergie solaire reçue), qui constitue une sorte de régulateur du régime de température de la Terre. Supposons que les températures augmentent (comme c'est le cas aujourd'hui). Par conséquent, le taux d'évaporation de l'océan s'accroit, la couche de nuages retenant l'énergie solaire se densifie, ce qui entraîne une baisse des températures. Et inversement.
Comment doit-on percevoir le problème de climat? Il faut se montrer serein et pragmatique en acceptant l'état des choses dicté par la nature. Cela ne vaut pas la peine de paniquer en prévision d'une "fonte rapide" des glaces de l'océan Glacial Arctique (et qui précèderait leur disparition). Les explorateurs des pôles affirment, à ce propos, que les calottes glaciaires de l'Arctique et de l'Antarctique ne font que croître. Par conséquent, l'avenir de la Terre sera lié à une nouvelle période glaciaire, encore plus rude que la précédente, ce que démontrent les calculs physiques et mathématiques. L'Europe sera recouverte de glace, le glacier progressera jusqu'au Sud de Moscou. Mais ces processus n'auront pas lieu avant 100.000 ans!
En attendant, je tiens à rassurer les Européens en leur disant que le Gulf Stream ne quittera son courant habituel que s'il est, par miracle, privé de son énergie, de manière à ne plus avoir de forces pour atteindre les régions septentrionales. Mais la nature ne se comportera sans doute pas de la sorte.
Réchauffement climatique: qui croire?
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